Garmin Vivosmart : mon nouveau gadget

J’avais entendu parlé des produits Garmin pour le sport et le fitness. Au regard de mon activité sportive peu reluisante, je n’en voyais pas l’intérêt. Et puis, il y eu le moment où j’ai vu la lumière, c’est le cas de le dire. Au regard de mon état de santé, je me suis dit qu’il ne serait pas stupide de gérer mon activité avec un bracelet de fitness. Alors, je me suis mise en mode recherche. Et je me suis décidé à acheter un Garmin Vivosmart HR. Comme d’habitude, j’ai regardé les prix sur différents sites. Et en dernier recours, je me suis dit qu’il serait peut-être bien d’aller jeter un petit coup d’oeil sur Ebay. J’ai tiré le jackpot : je me suis trouvée un Garmin Vivosmart à ma taille pour le quart du prix recommandé.

 

A l’usage, je suis agréablement surprise, c’est simple à utiliser. J’ai du le configurer sans le manuel. Seul hic :  il n’y a pas le cardiomètre. Bon… mais vu le prix, il ne faut pas faire la fine bouche, sur un produit d’occaz quasi neuf. Et après 48  heures d’utilisation, je suis contente d’avoir une nouvelle « montre » étanche…C’est la raison de cet article.

 

 

Le problème d’être végétalienne

Le problème d’être végétalienne, c’est qu’il faut prévoir un budget pour changer sa garde robe. J’ai du acheter des pantalons et des shorts. Le tri ne fut pas difficile car la plupart de mes pantalons étaient trop grands. Moi qui garde pas mal de choses, j’ai pu me rabattre dans les premiers temps sur de vieux pantalons que je ne mettais plus à cause de mon embonpoint. Mais certains ont aussi du partir. La dernière pièce en date est mon short préféré de chez Volcom : une taille 46 homme (je ne porte que des tailles homme). Aujourd’hui, je porte des tailles 40 et je flirte avec la taille 38. Une fois mon petit ventre disparu, je pense que je serai sur une taille 38. Et là, je vous ai parlé du bas, le haut s’est à peu près le même topo. « Si on m’avait dit,… »

Pour ou contre l’utilisation de stéroïdes ?

Vidéo en anglais, trouvé sur la chaîne National Geographic. En résumé, on connaît leurs effets biologiques sur le corps humain. Et comme tout produit chimique, il y a les effets indésirables qui ne sont pas négligeables.

Garder la forme

Comme je vous l’expliquai, je me suis mis à faire des exercices par nécessité. J’étais motivée car je ne voulais pas prendre de poids et rester clouée au  lit à jamais.

Peu convaincue par le discours des médecins, j’ai décidé de prendre les choses en mains. Avec du recul et les résultats à quasiment six mois, c’était la meilleure idée que j’ai pu avoir. Mon seul regret est que je n’ai pas pris de photos ou fait des vidéos de ma transformation. Mais malgré le fait que j’étais un peu diminuée suite à ma blessure, j’ai à ce jour perdu une taille en pantalon et je flotte dans tous mes hauts.

Mes lectures variées  m’ont permis de sélectionner une série d’exercices qui me prennent à peu près dix minutes de mon temps, le matin, six jours par semaine (aucun exercice le dimanche).

les exercices clé :

• série de pompes au mur j’ai commencé à 10 tous les deux mois j’ajoute une série de 10. Aujourd’hui, j’en fais 30.
• série de squats  j’ai commencé à 10 tous les deux mois j’ajoute une série de 10. Aujourd’hui, je n’en fais que 20, car je me suis blessée au tibia et depuis le début, ces exercices sont douloureux. Au regard de la blessure, j’ai gagné en souplesse.
• série de tractions au mur j’ai commencé à 10 tous les deux mois j’ajoute une série de 10. Aujourd’hui, j’en fais 30.
• série d’abdominaux sur mon lits. Les premières semaines je faisais deux séries de 5 sur un tabouret. Cela était trop douloureux. J’ai eu l’idée de changer mouvement et de les faire dans sur mon lit.  j’ai commencé à 10 tous les deux mois à peu près, j’ajoute une série de 10. Aujourd’hui, j’en fais 30.
• toujours sur mon lit série de mouvements de yoga sur mon lit (dans cet exercice je soulève le fessier)  j’ai commencé à 10 tous les deux mois j’ajoute une série de 10. Aujourd’hui, j’en fais 30.
• L’après-midi, je refais 10 minutes avec 4 séries de traction de 5 répétitions. Ceci afin de m’assurer de ne pas prendre de ventre. Depuis un mois, j’utilise un stand à dips.  Je fais quatre mouvements différents.  Résultat :chaque semaine, je fonds un petit peu plus.

Je pense bientôt avoir un ventre plat. Essayez, c’est adopter ! Je n’ai aucune envie de revenir en arrière. Et je pense, continuer ma petite routine encore longtemps.

 

Calisthenics

Suite à un accident de la circulation pas trop grave mais invalidant, j’ai cherché un moyen de rester en forme tout en respectant ma blessure sur mon tibia.

Un mois après l’accident et par peur de prendre du poids, je me suis dit qu’il fallait que je fasse de l’exercice. En analysant ma lamentable situation, je me suis demandée comment faisaient les détenus des prisons américaines pour garder la forme.

Ayant une petite maitrise de l’anglais, je suis partie surfer sur internet avec ma tablette. En quelques minutes, j’ai trouvé la réponse dans un bouquin : « Convict conditioning ». Je l’ai acheté sur Amazon, peu convaincue du bien fondé de ma décision. J’ai commencé à lire le bouquin quelques semaines plus tard, un chapitre par jour à peu près : après un mois et demi d’arrêt. J’ai intégré les exercices à la fin de la lecture de chaque chapitre.

Je dois admettre que quelques jours plus tard pour ne pas dire presque immédiatement, j’ai ressenti les bienfaits des exercices sur mon corps et deux mois et demi plus tard je regarde les résultats un peu beaucoup émerveillée.

Je me demande pourquoi je n’ai pas pensé à faire des exercices plus tôt dans ma vie, au regard des résultats obtenus aujourd’hui. La triste réalité est qu’il m’aura fallu un accident de la circulation qui me laisse pendant des mois dans une situation d’invalidité qui limite mes déplacements, pour prendre cette décision.  TRISTE !

Au moment ou j’écris ces lignes, je suis toujours en arrêt, avec une blessure qui me pourrit mon quotidien. Mais l’ironie de la situation est  que quelque part, je n’ai jamais été en meilleur forme, maintenant, de toute ma vie adulte. Cherchez l’erreur !